Ho’oponopono et les enfants

Ho’oponopono et les enfants

Ho’oponopono et les enfants

Ho’oponopono est une discipline énergétique particulièrement efficace pour le nettoyage des schémas et mémoires erronées qui nous affectent au quotidien.

Notre moi supérieur représente 92 % de notre esprit, notre mental 8% seulement.

Or, c’est la plupart du temps notre mental qui dirige nos vies.

Cette discipline douce venue des îles du Pacifique agit en profondeur pour nos enfants.

C’est au cours des 12 premières années de notre vie que les programmations principales se créent.

Ce que nous expérimentons dans notre quotidien n’est plus que la répétition de ces schémas, qui sont un peu plus renforcés à chaque fois qu’ils sont activés.

C’est ainsi qu’au final, nous abandonnons nos rêves d’enfant au profit de nos peurs, restrictions, mental, mémoires.

Et si nous permettions à nos enfants  de vivre une vie épanouie, dans l’abondance et la joie simplement en leur épargnant une grande partie de ce par quoi nous sommes passés (tourments, dépression pénurie, …) ?

 

Qu’est-ce qu’un enfant ?

Apriori, nous savons tout ce qu’est un enfant et cette question peut sembler saugrenue.

Un nourrisson, lorsqu’il nait, est un être vierge de toute mémoire. Son mental n’existe pas puisqu’il ne possède aucune habitude ni programmation.

Il est donc dirigé uniquement par son moi supérieur et il est en contact direct avec le divin qui est en lui.

Il suffit de le voir nous regarder, ou sourire aux anges.

Un nourrisson est comme une toile blanche, vierge.

Puis viennent les premières expériences de la vie.

Ce sont les plus importantes car c’est elles qui détermineront les suivantes.

Ce sont elles qui créeront les premières mémoires.

Plus l’enfant grandit, plus la toile se remplit.

Plus les mémoires l’affectent (en positif ou négatif), mais également plus le mental prend le contrôle de son être, plus il se déconnecte de son moi-supérieur.

On dit souvent qu’un enfant perd son innocence.

Il prend en fait de la distance avec les 92 % de qui il est, et il se laisse gangréner par ses mémoires.

Tout est amplifié chez un enfant.

Il n’y a rien de plus simple à cet âge que de collecter des mémoires.

Le manque de confiance en lui peut venir d’un professeur qui lui dit qu’il est nul car il a échoué à un examen, d’un camarade qui se moque, une amie qui refusera de lui faire une bise (mémoire de rejet).

Le fait de vivre dans un environnement familial “où on reste ensemble pour les enfants” leur apprend seulement qu’en amour on doit être malheureux.

Nos propres peurs peuvent également créer des mémoires handicapantes pour nos enfants.

Les enfants ont une intuition qui dépasse de loin celle des adultes, leur ressenti est également bien supérieur au nôtre, de par leur connexion avec le divin.

Ceci est d’autant plus pertinent pour des enfants atypiques.

” L’esprit intuitif est un cadeau sacré et l’esprit rationnel est un serviteur fidèle

(Albert Einstein).

Notre société met en avant et félicite le serviteur, mais notre bien être dépend entièrement de la manière dont on parvient à s’écouter.

Nous l’avons dit plus haut, tout se joue durant les 12 premières années, alors donnons-leur le réflexe d’effacer les mémoires erronées pour être un être libre qu’ils pourraient se créer ou s’il se laissera dominer par elles.

Plus on commence jeune, plus le travail est simple car les programmations n’auront pas le temps de s’enraciner, ni les effets néfastes de se manifester.

Cela leur permettra d’être des adultes libres et de faire leurs choix basés sur leurs envies et non selon ce que leurs mémoires leurs imposeront.

Ils pourront avoir une vie remplie de joie, d’amour et d’abondance.

Ils seront donc acteurs et non spectateurs de leur propre vie.

 

Imaginez à quoi ressemblerait votre vie si on avait enlevé, à l’époque, toutes ces mémoires qui vous posent problème aujourd’hui.

Quels objectifs auriez-vous déjà atteints ?

Quel impact cela aurait-il eu sur votre bonheur ?

Le soin

Il est intéressant de constater que les enfants sont curieux et désireux d’apprendre, lorsqu’ils voient leurs parents pratiquer.

En pratiquant donc pour vous une discipline comme Ho’Oponopono, il y a de grandes chances que vos enfants s’imbriquent également dans le processus.

Dès l’âge 2 ans, il est possible de travailler avec Ho’oponopono.

La première chose qui compte pour faire un travail avec un enfant, c’est la communication. Il doit savoir qu’il peut tout vous raconter à propos de ce qu’il vit et ressent. Que vous n’êtes pas là pour le juger ou le gronder.

Que vous êtes son complice, et que vous êtes là pour l’aider afin de savoir si de nouvelles mémoires se sont créées en lui.

Demandez-lui de raconter sa journée (certains enfants ont besoin de questions précises) :
  • as-tu appris telle matière aujourd’hui ?
  • as-tu été en colère aujourd’hui ?
  • y a-t’il eu une dispute avec un copain ?
  • madame a-t’elle dit quelque chose qui t’a blessé?) ?

S’il raconte qu’il a reçu une réflexion désobligeante de son professeur, ou qu’il a eu une altercation avec un camarade, il y a certainement une mémoire à nettoyer.

Rassurez-le, ce sont des choses qui peuvent arriver et cela ne change pas la belle personne qu’il est.

Demandez-lui s’il a envie d’effacer ce qu’il ressent (honte, tristesse, colère, peur, …).

Expliquez-lui bien que cela ne fera pas le souvenir de ce qui s’est passé, mais qu’il a la possibilité de se défaire de son mal-être.

Si l’enfant a entre 2 et 5 ans, vous pouvez lui expliquer qu’il y a une petite lumière en lui qui est là pour l’aider à aller mieux et qui réside au fond de son cœur.

Cette lumière peut être représentée par une fée, un animal, … selon votre imagination, soyez ludique, jouez la carte de la magie.

Faites-le s’assoir, proposez-lui de s’apaiser, de se tranquilliser.

Faites-lui comprendre qu’il est avec vous, que vous l’aimez et que rien ne peut lui arriver.

Demandez-lui de fermer les yeux et de se concentrer sur sa respiration, en inspirant profondément par le nez, et en expirant par la bouche (min. 5 respirations).

Pour les plus jeunes, vous pouvez leur raconter que c’est le moyen de faire venir la petite fée (ou autre selon vos termes), de l’appeler.

Suggérez-lui de revoir la scène qui l’a marquée.

Faites-le se saisir d’une éponge (toujours les yeux fermés), et de lever le bras, jusqu’à ce qu’il soit en haut de son image mentale.

A ce moment, dites dans votre tête ou à voix haute avec force et énergie “Avec l’aide de l’esprit divin qui est en nous, nous nettoyons maintenant toutes les mémoires qui ont engendré cette situation, des plus récentes aux plus anciennes”.

Puis demandez à l’enfant de passer un coup d’effaceur sur l’image, en répétant le mantra “Désolée, pardon, merci, je t’aime”.

A chaque coup d’effaceur, on prononce un des mots du mantra.

Encouragez l’enfant entre deux mots : “tu as vu comme ça s’efface ?”.

Répétez autant de fois que l’enfant en a besoin, jusqu’à ce qu’il sache exprimer du positif par rapport à la situation.

 

Les premières fois seront peut- être un peu chaotiques.

Rassurez-vous, Ho’Oponopono se met en place.

Vous trouverez la meilleure façon de faire après quelques séances.

Ne lâchez rien, continuez.

 

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